Mrs Spok
Avec tout ça (le lecteur mettra ce qu'il voudra dans ces trois mots) je n'ai pas eu le temps de parler du film de Coline Serreau, Solutions locales...
Vous connaissez le protocole : je chronique les circonstances dans l'orient de l'Orient, et je parle des films plus précisément dans Ciné Dié.
Coline Serreau, c'est pour tout le monde la réalisatrice de Trois hommes et un couffin, et ce n'est pas de ma faute ! Par ailleurs, la dame a une filmographie comportant 14 titres dont je n'avais vu qu'un seul avant Solutions locales..., Le couffin en question, à la télé comme il se doit, dans ses deux versions : occasion de signaler que l'américaine, Three men and a baby, a été réalisée par Monsieur Spok (Leonard Nimoy), Magnum Tom Selleck reprenant un des rôles de papa improvisé...
Hier, on avait des amis de Saint-Julien en Quint à dîner... J'avais fait rôtir un gigot de Nouvelle-Zélande, une cuisse grande comme le bras d'un lanceur de poids. Mais tout le reste était local. A part le riz. Les courgettes, les fromages, la salade. Les pommes qui ont garni la tarte, je sais pas. Elles venaient du marché de Die. Le vieux qui me les a vendues à 13h bien sonnées n'a pas pris la peine de les peser. Il y en avait au moins deux kilos et demi. Il a dit, allez, 1 euro... J'ai pas discuté !
Avec tout ça, le lecteur va croire que je n'ai pas aimé le film. Il aurait tort : il n'y a pas de film. Il y a un sujet, une information à donner, une communauté de pensée, une prise de conscience, des intervenants formidables mais de film, presque rien... Des images, certes, beaucoup de musique et, surtout, des paroles qui disent et redisent que La Terre est Notre Mère. Alors, j'ai repensé tout le temps au seul film que je connaissais de Coline Serreau : Trois hommes et un couffin. Et je me suis demandé s'il y avait un message dans ce film-là que j'aurais loupé.
Pour cette fois, j'aurais tout dit d'un film dans l'orient de l'Orient. Il n'y aura donc pas de développement dans Ciné Dié. Cela tient beaucoup au fait que j'ai vu Solutions locales... à Die, dans une terre déjà sensibilisée et informée sur la question.
Le soir de Solutions locales..., la salle du Pestel était bien garnie. Au moins 35 spectateurs. La plus grande affluence que j'ai pu observer ici. Et des applaudissements à la fin du film. C'est rigolo d'applaudir un écran avec un générique qui défile. On aurait cru que Coline en personne allait venir boire une bière bio avec nous au bar du Pestel.
Vous connaissez le protocole : je chronique les circonstances dans l'orient de l'Orient, et je parle des films plus précisément dans Ciné Dié.
Coline Serreau, c'est pour tout le monde la réalisatrice de Trois hommes et un couffin, et ce n'est pas de ma faute ! Par ailleurs, la dame a une filmographie comportant 14 titres dont je n'avais vu qu'un seul avant Solutions locales..., Le couffin en question, à la télé comme il se doit, dans ses deux versions : occasion de signaler que l'américaine, Three men and a baby, a été réalisée par Monsieur Spok (Leonard Nimoy), Magnum Tom Selleck reprenant un des rôles de papa improvisé...
Hier, on avait des amis de Saint-Julien en Quint à dîner... J'avais fait rôtir un gigot de Nouvelle-Zélande, une cuisse grande comme le bras d'un lanceur de poids. Mais tout le reste était local. A part le riz. Les courgettes, les fromages, la salade. Les pommes qui ont garni la tarte, je sais pas. Elles venaient du marché de Die. Le vieux qui me les a vendues à 13h bien sonnées n'a pas pris la peine de les peser. Il y en avait au moins deux kilos et demi. Il a dit, allez, 1 euro... J'ai pas discuté !
Avec tout ça, le lecteur va croire que je n'ai pas aimé le film. Il aurait tort : il n'y a pas de film. Il y a un sujet, une information à donner, une communauté de pensée, une prise de conscience, des intervenants formidables mais de film, presque rien... Des images, certes, beaucoup de musique et, surtout, des paroles qui disent et redisent que La Terre est Notre Mère. Alors, j'ai repensé tout le temps au seul film que je connaissais de Coline Serreau : Trois hommes et un couffin. Et je me suis demandé s'il y avait un message dans ce film-là que j'aurais loupé.
Pour cette fois, j'aurais tout dit d'un film dans l'orient de l'Orient. Il n'y aura donc pas de développement dans Ciné Dié. Cela tient beaucoup au fait que j'ai vu Solutions locales... à Die, dans une terre déjà sensibilisée et informée sur la question.
Le soir de Solutions locales..., la salle du Pestel était bien garnie. Au moins 35 spectateurs. La plus grande affluence que j'ai pu observer ici. Et des applaudissements à la fin du film. C'est rigolo d'applaudir un écran avec un générique qui défile. On aurait cru que Coline en personne allait venir boire une bière bio avec nous au bar du Pestel.
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